De son importation en France par Jean-François Bizot à Internet qui n’a pas été loin de l’achever, l’underground s’est durant 45 ans montré passionnant, rebelle, sectaire, snob, caricatural et ringard, avant d’être laissé pour mort. A tort.
(article publié dans le Focus Vif du 24 janvier 2014)
(article publié dans le Focus Vif du 24 janvier 2014)